Sophie Le-Phat Ho on Mon, 25 Feb 2013 21:04:03 +0100 (CET)


[Date Prev] [Date Next] [Thread Prev] [Thread Next] [Date Index] [Thread Index]

<nettime-ann> .dpi issue 27: Call for projects (03/11)


.
Electronic journal .dpi - Re-Imagined
Issue 27: Call for projects
Proposal deadline: March 11, 2013

Founded by Studio XX in 2004, electronic journal .dpi has recently undergone an important process of transformation with the goal of reaffirming and re-focusing its role as a feminist journal on art and digital culture. 

In 2013, benefiting from the ongoing support of Studio XX's administrative and technological resources, .dpi acquires the status of an independent project with a new platform and a renewed editorial team, including Sophie Le-Phat Ho, as permanent editor-in-chief, and an editorial committee composed of Julie Alary Lavallée, Amber Berson, Esther Bourdages, Christina Haralanova, Corina MacDonald, Katja Melzer, Candace Mooers and Deanna Radford. 

Based in Montreal as an online journal, .dpi opens up a unique and bilingual (French & English) space for dialogue and interdisciplinary critical reflection, research, experimentation, documentation, and positions and propositions situated at the intersection of art, technology and feminisms. The journal is a platform where the bold, critical, engaged and curious contributor may question issues related to feminism (in all its varieties), art and digital culture. 


.dpi 27 Call for projects

For this very special next issue, .dpi seeks proposals that reflect its renewed mission. 

As part of issue 27, .dpi launches an open call for a themed section on hacktivism (see below) guest edited by Christina Haralanova, a researcher interested in work that intersects feminist and techno activism, such as women's contribution to free and open source software development. 

Proposals for submissions that fall outside of the theme are also welcomed. 

.dpi 27 will be launched in April 2013 in its new platform and website. A special launch event will take place (details to come). 


Themed Section: Hacktivism
Guest Editor: Christina Haralanova

Hacktivism: the Art of Practicing Life and Computer Hacking for Feminist Activism 

Hacktivism fuses hacking and activism indicating the use of technical expertise, such as computer programming skills, for social activism and political action. In other words, hacktivism is described as hacking with a political purpose, and does not limit itself to the largely mediatized sense of disruptive online actions. 

Hacking is often used to indicate activities related to electronics, computer hardware and software in the spirit of DIY (Do-it-Yourself) experimenting, testing, improving, and repairing of technological devices. Hacking can take different forms: from computer security and engineering to travel, radio, bike and food hacking. In a wider sense of the word, a hacker refers to a state of mind, in which one strives to learn how things are made by repairing, repurposing and improving them. This more inclusive definition considers not only programmers, but also geeky individuals. 

Despite its popularity, of all the activities around technology, hacking is the one least visited by feminist geeks and professionals who self-identify as women. Perhaps the lack of documentation and research on the subject amplifies this observation. Yet learning technical skills on one's own or in groups, organizing or participating in discussions, experimenting informally with hardware, software and electronics, are all part of a feminist approach to DIY learning. With this 27th issue, .dpi wants to give more visibility to hacktivism used by women and feminists as a tool for change and to investigate the various forms it can take. 

The call is open to practitioners and researchers interested in such issues as political aspects of technology, information governance, gender and hacking, hacktivist art, or feminist and strategic uses of technologies. 


How to submit a proposal

.dpi is looking for proposals relevant to (or stemming from) "the Web", including text, image, sound, video, animation, interactive works, etc., and any combination of these, produced collaboratively or individually. Please send your proposal (maximum 300 words), a short biography (100 words) and a CV (per person involved) by Monday, March 11, 2013 to: revuedpi(at)gmail.com (Successful applicants will need to hand in their contribution by April 8.) 

Types of submissions include (but are not limited to) short essays, criticism, interviews, case studies, reviews, reports, creative works (or extracts), and other imaginative responses. Text length can vary between 500 and 1500 words (maximum), depending on the form and the media used. An honorarium is offered depending on the length and complexity of the contribution. The authors and artists are responsible for all copyright related to the submitted content. If you are applying with an artwork, it must be completed by the date of submission and included with the proposal. 

dpi.studioxx.org 

In addition, if you want to get involved in the process of shifting the model and mandate of .dpi and help support the editorial team, get in touch with us! revuedpi(at)gmail.com



////////////////////////////// version française

La revue .dpi fait peau neuve!
Appel à projets du no. 27
Date limite : 11 mars 2013

Créée par le Studio XX en 2004, la revue .dpi a récemment entamé un important processus de transformation afin de s?affirmer en tant que revue féministe d?art et de culture numérique.

En 2013, bénéficiant toujours du soutien administratif et technologique du Studio XX, la revue .dpi devient un projet indépendant et se dote d'une nouvelle plateforme et d'une nouvelle équipe dont une rédactrice en chef permanente, Sophie Le-Phat Ho, et un nouveau comité de rédaction composé de Julie Alary Lavallée, Amber Berson, Esther Bourdages, Christina Haralanova, Corina MacDonald, Katja Melzer, Candace Mooers et Deanna Radford.

Basée à Montréal et publiée en ligne, .dpi ouvre un espace unique de dialogue bilingue (français et anglais) et interdisciplinaire pour la réflexion critique, la recherche, l'expérimentation, la documentation et les prises de position et propositions à l'intersection de l'art, des technologies et des féminismes. Audacieuse, critique, engagée et participative, elle traite de problématiques en lien avec les féminismes, l'art et la culture numérique.


Appel à projets du no. 27

Pour ce prochain numéro très particulier, .dpi est à la recherche de propositions qui reflètent sa mission renouvelée.

Dans le cadre de ce numéro, .dpi lance un appel pour un dossier spécial sur le hacktivisme (voir plus bas) avec comme coordonnatrice invitée, Christina Haralanova, activiste féministe et chercheuse qui s?intéresse à la liberté de la technologie et aux logiciels libres.

Les soumissions hors-dossier sont également bienvenues.

Le numéro 27 paraîtra en avril 2013 sur la nouvelle plateforme et un événement spécial de lancement aura lieu (détails à venir).


Dossier spécial : Le hacktivisme
Coordonnatrice de dossier invitée : Christina Haralanova

Le hacktivisme : l'art dMinterconnecter activisme technologique et féminisme

Fusion du hacking et de l'activisme, le hacktivisme désigne l'utilisation d'une expertise technique, telle que le codage informatique, pour le militantisme social et politique. En d'autres termes, le hacktivisme peut se définir comme du hacking réalisé dans un but politique, sans être limité à son sens largement médiatisé qui le résume à des actions perturbatrices à travers l'Internet.

Le mot hacking, quant à lui, est souvent utilisé pour faire allusion à des activités liées à l'électronique, au matériel informatique, et le développement de logiciels dans l'esprit du DIY (Do-it-Yourself, faire soi-même), à l'expérimentation, à l'essai, ainsi qu'à l'amélioration et la réparation d'appareils. Il peut prendre diverses formes, en passant de la sécurité informatique et l'ingénierie sociale au hacking de voyage, de la radio, du vélo ou même de la nourriture. Dans un sens élargi, le hacking désigne un état d'esprit, une curiosité par rapport à la manière dont les choses sont conçues, par l'entremise de leur réparation ou de leur adaptation aux besoins des utilisateur-rice-s. Plus inclusive, cette définition ne considère pas uniquement les programmeur-euse-s, mais aussi les geeks.

Malgré sa popularité, le hacking figure parmi les activités en lien avec la technologie la moins investie par les geeks féministes et les professionnelles s'identifiant en tant que femmes. Le manque de documentation et de recherche sur le sujet amplifie peut-être cette observation. Qu'il soit question d'acquérir des compétences techniques de manière autodidacte ou en groupe, d'organiser ou de participer à des discussions ou encore d'expérimenter à partir de matériaux informatiques, de logiciels et de l'électronique, tout cela correspond pourtant au mode d'apprentissage autodidacte féministe. À ce titre, .dpi désire accroître la visibilité des activités hacktivistes pratiquées autant par les femmes que les féministes, en guise d'outil menant au changement, et explorer les différentes formes qu'elles peuvent adopter.

Cet appel de textes s'adresse notamment aux praticien-ne-s et chercheur-e-s travaillant sur des questions liées à la technologie et son caractère politique, la gouvernance de l'information, les genres et le hacking, l'art hacktiviste, ou l'usage féministe et stratégique des technologies.

Soumettre une proposition

.dpi est à la recherche de propositions appropriées au (ou issues du) Web, incluant le texte, l'image, le son, la vidéo, l'animation, l'interactivité, etc., et toute combinaison de ces médias, produite de manière collaborative ou individuelle. Veuillez faire parvenir votre proposition d'une longueur maximale de 300 mots, une courte biographie (100 mots) et un CV (par personne impliquée) d'ici le lundi 11 mars 2013 à : revuedpi(at)gmail.com (Les contributions retenues devront être complétées au plus tard le 8 avril.)

Les contributions peuvent prendre la forme de courts essais, critiques, entrevues, études de cas, comptes-rendus, oeuvres (ou extraits), ou une forme inattendue. La longueur des textes peut varier entre 500 et 1500 mots (maximum), selon la forme et les médias utilisés. Un cachet est offert selon la longueur et la complexité de la contribution. Les auteur-e-s et artistes sont responsables de tous les droits d'auteur en lien avec le contenu soumis. S'il s'agit d'une oeuvre, elle doit être complétée à la date de soumission et incluse avec la proposition.

dpi.studioxx.org

De plus, si vous désirez vous impliquer dans le processus de transformation de .dpi et épauler l'équipe de rédaction, contactez-nous! revuedpi(at)gmail.com

_______________________________________________
nettime-ann mailing list
nettime-ann@nettime.org
http://www.nettime.org/cgi-bin/mailman/listinfo/nettime-ann