Centrul Cultural Sindan on Wed, 13 Nov 2002 17:00:57 +0100 (CET)


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Centrul Cultural Sindan

vă invită joi 14 noiembrie 2002 orele 17h00

la

vernisajul expoziţiei

Le jardin du silence au Palais-Royal

de Samuel Veis

Galeria Centrului Cultural Sindan

strada Universităţii, 3/5 Cluj-Napoca

 

Expoziţie realizată cu sprijinul Centrului Cultural Francez – Cluj

 

 

samuel veis

 

Son premier travail photographique  - soit ses premières prises de vue - fut réalisé entre le 10 et le 28 février 1992 et donna lieu à la publication d’u ouvrage ayant pour titre :

 

Le Mur de Gainsbourg - 56 photographies de samuel tastet ponctuées d’un texte du même ci-après nommé  le mur d’amour.

 

L’ouvrage fut tiré à 3000 exemplaires et épuisé en quelques mois.

 

Le 22 octobre 1997 à Belgrade, il décide d’endosser le nom de sa grand-mère maternelle Veis qui est aussi l’anagramme de Vies en français. Parcourant les rues de la vieille ville, au moment même où il prend cette décision, il tombe en arrêt devant un pigeon mort.

 

Fatigué de la laideur bucarestoise un soir de janvier1996, il part pour Venise et commence à la photographier, la nuit.

Il la connaît depuis 1974 et tient absolument à témoigner par la photographie de crainte de devenir aveugle. Mais n’a aucune intention de faire des expositions.

 

Le 17 mars 1999, opération de la cataracte de l’oeil droit, il recouvre une vue qui lui fut cachée depuis sa naissance. C’est l’explosion des couleurs et le phénomène d’éblouissement pratiquement permanent. Il ne s’interroge plus, désormais, sur le fait de son noctambulisme et de son légendaire sens nyctalope.

 

Invente le mot phantom’graphie.

 

En février 2001, les éditions PC reprennent ses photographies du Mur de Gainsbourg pour publier un livre-CD avec une interview inédite de Serge Gainsbourg intitulé Gainsbourg - 5 bis, rue de Verneuil. Il est coédité par France-Culture et l’INA. Les 5000 exemplaires sont en voie d’épuisement.

 

Sur l’insistance de nombreuses personnes, il commet sa première exposition en août 2001 à la Galerie Siret à Paris, dont le galeriste lui-même Christian Siret l’encourage fortement.

 

Finalement, c’est l’oeil de l’autre qui compte. On peut toujours photographier, si l’autre n’y voit rien, ne s’y retrouve pas, le travail est perdu.

 

 

expositions :

 

1 / août 2001 : Le jardin du silence au Palais-Royal -  (17 phantom’graphies) - Galerie Siret - Paris

2  / du 3 au 19 février 2002 : Venezia la notte - (44 phantom’graphies) - Galerie Siret - Paris

3 / du 27 février au 31 mars 2002 : Le jardin du silence au Palais-Royal - (35 phantom’graphies) - Centre Culturel Français - Iasi

4 / avril 2002 : Le jardin du silence au Palais-Royal - (35 phantom’graphies) - Centre de l’Alliance Française - Chisinau

5 / du 17 octobre au 30 novembre 2002 : Venezia la notte - ( 21 phantom’graphies) - Le Comptoir - Le Mans

6 / du 14 novembre au 5 décembre 2002 : Le jardin su silence au Palais-Royal - (22 phantom’graphies) - Galerie Sindan - Cluj

7 / du 16 au 31 décembre 2002 : Le jardin du silence au Palais-Royal - (49 phantom’graphies) - Galerie Siret - Paris

 

Le 29 avril 2002 les phantom’graphies de Venezia la notte décorèrent pour une soirée privée l’Hôtel Villa Lutèce à Paris.

Du 10 décembre 2002 au 30 janvier 2003, 6 phantom’graphies du jardin du silence au Palais-Royal décoreront l’entrée de l’Hôtel du Quai Voltaire à Paris. Hôtel qui logea Charles Baudelaire, Richard Wagner, Oscar Wilde.

 

En préparation pour l’année 2003 :

 

- Expositions à Paris, Venise, Bucarest, Londres & Tokyo.

- Décoration d’un hôtel à Venise et à Paris avec les phantom’graphies de Venezia la notte.

- Un livre sur le jardin du silence au Palais Royal achevant le travail photographique.

- Et aussi le tirage d’un livre en sept exemplaires numérotés ayant pour titre provisoire Les 1000 de Venise comportant 1000 photographies originales de Venise la nuit toutes numérotées et signées. Cet ouvrage devant stopper son “hémorragie phantom’graphique”.