Louise Desrenards on Sat, 20 Dec 2003 19:35:22 +0100 (CET)


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celui-ci je l'envoie qu'une fois ;-) Re: [nettime-fr] BDP2004


Il faut arrêter de monter en opportunisme par rapport à Agricola de Cologne
; tout cela ressemble de plus en plus à un combat entre bonne francophonie
qui ne me plaît guère...

Je déteste les situations de confrérie... corbeaux sectes, marchés de viles
lachetés ou frustrations en médiocrité où tout le monde assemblé en
dafaillances fond sur le bouc émissaire étant l'étranger, qui qu'il soit et
serait-il le pire... et là je parle d'une situation générale et sans
personne particulière, bien sûr. On se croirait en simulation théatrale de
l'attude sur les gitans les pédés ou les malades dans l'Allemagne pré-nazi
en attente de son clown représentatif : et le clown de la scène pour
l'instant du moins, si je comprends bien les protections affectueuses et
symathiques ou complices dont jouisent les clowns en partie masochistes,
immédiatement ce ne pourrait être Agricola de Cologne "le sadique" !!!!

De quoi relire Masses et puissance : encore une fois, nous voici dans la
horde... La France pue de plus en plus en toutes sortes de lieux or
franchement je pense qu'il faudrait s'arrêter dans l'indiscernement
artistique et culturel, car il devient un indicernement politique :  là !

Tout cela dégage une odeur nauséabonde résultant de la lie de l'opportunisme
branché des années 90 qui dressa en mousse l'art contemporain en ligne, au
moment de ses plus grandes années de plagia et de vide ; c'était un jeu
ironique de miroir de flatterie dérisoire et donc intéressant sur le plan
critique certes, mais à voir les pires odeurs qui en résultent strictement
et exclusivement aujourd'hui, par ex des retraits spectaculaires se bordant
à gauche ou à droite avant d'enfoncer son coup de poignard comme ceux
auxquels je viens d'assister et que je me garderai bien de contredire par
des preuves (même si j'en dispose dans mes boîtes aux lettres), alors il n'y
aurait plus qu'à jeter l'éponge pour changer de ring.

Tout le monde va se casser d'ici...

Il se trouve que cette BDP pose de vrais problèmes entre ceux qui
l'abandonnèrent (la ville) et ceux qui la réinvestirent sous la
bienveillance de leur entourage artistique (A.G.) : ç'aurait pu être une
arme fantastique dans un cadre éthique de résistance... nous en sommes loin
;-)

Des gens comme Viola déjà ne voudraient plus venir, comme bien d'autres...
et pourquoi à votre avis ? et si c'était notamment à cause de
l'environnement des artistes pensionnaires de l'administration qui
furent-ils excellents ne chercheraient même plus à se surpasser mais
simplement à entrer dans le code du dernier programme de financement et de
lui en rendre pour son seul argent et regard courtisan?

ce code de clientèle politique ds années révolues qui après avoir pris tout
le fric aux plus différents sous l'oeil bienveillant de sa propre marge
qu'il lésait, voit sa propre conformité se raréfier et diminuer faute de
gisement de ressources... et sauf intégration du pouvoir par contrat non par
légitimité partisanne (je préfère encore l'arrivisme des militants
solidaires à celui des contractuels d'aventure) ni par concours (je dis bien
qu'il s'agit là du même terme que celui utilisé pour les tueurs à gage: ici
les tueurs de culture) du pouvoir dans le ressaisissement de la culture par
le pouvoir et les plans-projet du pouvoir, il semblerait que les issues des
dossiers devinssent de plus en plus problématiques. Si j'ai quadruplé le mot
c'est volontairement. Que chacun s'édifie du sens que 4 apparitions qui ne
pourraient encore en être cinq, ni même totale,  mais ne pouvont tarder à
s'annoncer comme telles,  pourait signifier d'implicite : sinon la guerre de
la pensée contre le pouvoir et sans épargne de la position de la alliances?

Et si l'on ne peut partir, alors bonjour la transcendance !
 
C'est vrai qu'Alexandre fut peut-être courageux et demeure pathétique mais
il est d'autant plus virulent en ce qu'il n'est plus dans la première
stratégie du rachat du sigle Biennale, et qu'il se sert de ce décalage pour
manipuler ses intérêts ou viles illusions en compromettant des personnes,
peut-être même ses propres amis sans que ceux-ci le sachent, contre d'autres
personnes : alors il n'est pas à plaindre.


Alexandre hélas pour lui n'est pas une réincarnation de Duchamp inventant
l'architecte récolutionnaire Lequeu en constituant de fausses archives
déposées à la Bibliothèque nationale... il ne faisait du mal à personne
sinon aux académies... loin de là : notre ami ou ex ami d'aujourd'hui, il
cherche à constituer sa propre accadémie !

Ici il y a du pouvoir en jeu. Ou il est seul et il est fou ou des intérets
sont derrière lui et ce n'en est que plus inquiétant d'ignorer lesquels.

Il est vraiment et commercialement le propriétaire du sigle Biennale de
Paris ‹ e td'ailleus est-ce toujours vrai ? Ce n'est pas un mot ni un
concept qu'il a inventé lui-même ; c'est un concept qui joue le peuple dans
la ville, qui dérobe la ville à son citoyen, sauf à le lui rendre !!! Deux
façons : le revendre à la ville de Paris, ou faire que la BDP soit plus
belle plus intéresante et passionnante que jamais elle aurait pu l'être
entre les mains conformistes de la ville, une Biennale libre qui joue dans
la cour transgenre de l'xposition et de l'installation ! Le virtuel, oui
mais pas seulement : le virtuel aux topologies matérielles asynchrones dans
ses interconnexions... voilà qui me passionnait ! or pas du tout il s'agit
de récupérer de l'opinion vers des partis ? !!!! ‹ de gauche comme de droite
si on compte le retour des stals ! oU alors qui est koi ? quand il dit
Alexandre, celui qui ne peut connaîte e qui se passe dans la Biennale je ne
peux en parler avec lui mais il rigole là? ON appelle pas l'assemblée de
des artistes à cautionner une entreprise proriétaire qui n'affiche pas
clairemtn ce qu'elle est !

C ça qe j'ai cru, moi ! Or transgenre : nenni ! que plagia d'administration
et d'académie ubuesque sans jamais en voir les membres ! bon sang ce n'est
pas l'autorité solitaire qui me fait peur, j'en suis, mais le pouvoir réaisé
de la grande gidouile liée à d'autres lobbies annoncés ou instrumentés en
complot... c pas mon truc.

Il se comporte toujours en complot et cela serait-ce sans objet l'édifierait
alors en victime survivant sur le charnier symbolique de ses propres
destructions... lui pourtant si gentil doux et sympathique. Qui veut jouer
avec lui à ça sinon les désespérés ou ceux qu n'ont rien à risquer parce
qu'ils sont parvenus si haut dan sleur proes intérêts...  ?

Entre les mystifications ou les taxes d'un Boyer qui constituaient un
véritable protocole artistique critique et le grand fantasme de magouille
universel de la BDP, il y a quand même une différence c'est la consistance
ou la non consistance d'oeuvre. Au-delà de l'oeuvre en effet n'est plus du
tout la question esthétique qui édifie son altérité dialectique, mais
strictement la question éthique sans laquelle je dirais... je dirais
simplement l'exemple de Jung parlant de l'hallucination et de la vision :
"il y a peu entre la vision et l'hallucination" ici : "entre la
mystification et l'escroquerie"

Et je ne dis pas remarquez bien: "entre la simulation et la révélation de
l'événement", puisque l'événement de la Biennale a précisément lieu en tout
ceci et en tout ce que sa simultion académique révèle ! dans tout ce qui se
passe immédiatement : c'est dire le peu d'intérêt qui en résultera ensuite,
que d'autres choses aient ou non lieu sinon de façon "croupionne"‹  ce qui
peut certes être polisson pour peu qu'il en restât trois plumes pour les
amateurs.

Agricola de Cologne je ne le connais ersonnellement pas plus que de l'avoir
rencontré chez Alexandre et raccompagné en voiture à son hotel, à la demande
d'Alexandre, comme il n'y avait plus de métro... je vous assure que c'est
lui qui a payé son train et son hotel et pas Alexandre ! Alexandre se
serait-il donné le mal de lui trouver une chambre... mais n'est-ce pas la
moindre des choses non? quand on se dit "directeur de la Biennale libre au
formes d'art avancées" on se retrouve dans toutes les fonctions... on n'est
pas un PDG ne berline à verres fumés.

Agricola je n'ai jamais travvaillé avec lui ni jamais été exposée chez lui
ni encore escompté de le faire sinon je l'aurais déjà fait dès sa rupture
avec Alexandre : Je suis témoin de ce qui lui est arrivé à Paris puisque
j'en fus une marionnette à la périphérie, et je sais que tout est vrai de ce
que moi-même ai pu en constater !

Pour le reste je ne le connais pas assez pour le juger et de toutes façons
je critique mais ne juge jamais sauf pour décider si j'écarte définitivement
quelqu'un de ma vie ou non : simplemetn parce qu'au-delàs jene le
supporterai plus pour ma survie. Mais je sais bien que des gens intéressants
ou charmants pour d'autres pouraient m'être insupportables et même si jeles
combats âprement les sentant me menacer, par contre une fois qui'ls ne sont
plus là je n'en ai cure.

Avec moi Agricola de Cologne a été impeccable et respectueux: et point.

Pour le reste je n'ai plus rien à dire sur cette question ni même qu'elle
n'est plus large et grave qu'il n'y paraît étant prédictible de sinistres
disconvenues générles de l'environnement, en quoi Alexandre n'y serait pour
rien sinon lui-même en état d'influence croyant influencer : dans le même
vent.

A.G.


 
 
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